1 Parce qu’il n’y a pas de plastique sur les ravitos. Et que ça flatte votre âme écolo.
Haro sur le plastoc, c’est la devise des organisateurs qui depuis 10 ans ont privilégié la mise en place de citernes et de rampes à eau pour vous permettre de remplir vos gourdes. Et ainsi éviter la distribution de gobelets qui inévitablement se retrouvent par terre et contribuent à la pollution des milieux naturels. En parallèle, la consommation d’eau est maîtrisée notamment avec l’utilisation de toilettes sèches.
2 Parce qu’on y mange bio et local. Et que ce n’est pas seulement une lubie de bobos.
La preuve que vous pouvez vous impliquer, aider à sauver la planète, sans pour autant en baver plus que de raison. Au ravito, c’est donc bon, sain et bio… Le tout, servi dans de la vaisselle compostable. Comme quoi allier plaisir, sport et écologie, c’est possible.
3 Parce que le gaspillage alimentaire y est banni. Et que c’est un premier pas vers le zéro culpabilité.
La révolution mentale commence par là. On ne peut pas toujours consommer plus. Au ravito, avant, pendant et après la course, pas question d’avoir les yeux plus gros que le ventre. Vous prenez seulement ce dont vous avez besoin et vous le mangez autant que possible jusqu’à la dernière miette. Le reste est donné à des associations caritatives. Ce qui ne peut faire que votre fierté.
4 Parce que les sols foulés sont réhabilités. Et que c’est crucial.
Un seul mot d’ordre : agir ! L’EcoTrail réhabilite chaque année des espaces fragiles de l’ONF et prend en compte les exigences du dispositif d’incident Natura 2000 pour la protection des sites sensibles traversés. Et il est peu de dire que c’est nécessaire après le passage de 11 500 coureurs acharnés surtout par conditions météo humides.
5 Parce que le nettoyage des sites est obligatoire. Et que c’est le bon réflexe à avoir.
Réduire la production de déchets ou valoriser les bio-déchets, c’est bien. Mais nettoyer après le passage des coureurs, c’est encore mieux. Opération Ménage de printemps donc après les entraînements et les compétitions, avec une centaine d’éco-acteurs. Une action collective que vous pouvez ensuite prolonger en solo au quotidien pour ne pas vous arrêter en si bon chemin.
6 Parce que l’accessibilité et la mobilité y sont favorisés. Et que c’est loin d’être anodin.
Un ticket offert, un aller solidaire. Le duo gagnant pour rejoindre la ligne de départ de votre course sans galérer et sans plomber votre bilan carbone. Le vrai déclic à avoir, c’est de penser transport, navette ou covoiturage pour effectuer les trajets jusqu’aux sites.
7 Parce qu’on se balade avec une pochette déchet. Et que ce n’est pas si basique.
Un petit geste qui s’il devient une bonne habitude contribue largement à protéger l’environnement. La pochette déchet vous permet en effet d’y déverser au fur et à mesure des kilomètres, tout ce qui doit être jeté. Réutilisable, c’est le réflexe écolo à adopter.
8 Parce qu’on y récupère les textiles abandonnés. Et que ce n’est pas simplement pour faire joli.
Fini les ponchos, les sweats et les t-shirts qui jonchent le sol de la zone de départ ! Comme à la maison, vous déposerez avant de vous élancer vos vêtements de protection dans une panière à linge. Jet de textile accepté ! Et à la fin, l’ensemble est distribué à une association humanitaire. Banco !
9 Parce que vous avez signé la charte. Et que c’est un signe de votre conscience green.
La charte éthique de l’Ecotrail ? Ce n’est pas du blabla. Mais la promesse de résultats. Ce sont 10 commandements que tous les inscrits et partenaires, s’engagent à respecter. De quoi provoquer le déclic à court terme et faire de vous un trailer éco-responsable !